Les conducteurs sous stupéfiant peuvent être à l’origine de nombreux accidents sur la route. La loi peut punir les mauvais conducteurs en leur donnant une perte de points ou une amande. La prise de stupéfiant associée à la conduite est un grave délit, il s’agit d’une infraction grave par rapport au code de la route. En France, la consommation de stupéfiants est strictement interdite. La personne au volant peut s’exposer à des sanctions pénales.
Quelles sanctions pour les conducteurs au volant qui sont contrôlés positifs aux stupéfiants ?
Pour les forces de l’ordre, prendre de stupéfiant au volant est considéré comme un délit qui est puni par la loi. Les sanctions possibles sont : une amende de 4500 euros, un emprisonnement de 2 ans, une immobilisation de la voiture, une perte de 6 points sur le permis de conduire et la mise en fourrière du véhicule. Il peut y avoir des peines complémentaires comme la suspension ou l’annulation du permis et la peine pour l’intérêt général. Parfois, la loi exige que le conducteur s’inscrive sur un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Le conducteur soit effectuer un stage de sensibilisation aux dangers de l’usage des stupéfiants.
Quelle amende pour l’association de l’alcool aux stupéfiants ?
L’usage de stupéfiant au volant peut entrainer beaucoup d’accident grave de la route. Quand un conducteur ou un accompagnateur de l’élève conducteur est contrôlé positive sur l’usage des stupéfiants, mais également sur le taux d’alcool dans le sang, la sanction peut s’avérer être plus grave. Il est possible d’avoir une amende de plus de 9000 euros et une peine d’emprisonnement de 3 ans. Vous pouvez avoir une perte de 6 points sur votre permis de conduire et une immobilisation du véhicule. Les autorités peuvent ordonner une mise en fourrière immédiate de la voiture. Il existe d’autres peines complémentaires et il faut rappeler que le mélange du cannabis à l’alcool multiplie le risque d’accident par 14.
Comment se fait le test de dépistage ?
Pour dépister le taux de stupéfiant au volant, ils effectuent un prélèvement de salive. Ce sont la gendarmerie et la police municipale qui se charge de de la détection de cannabis et de tous autres stupéfiants. Il suffit de faire un prélèvement de la salive par un petit coton-tige pour détecter la présence des stupéfiants. Si le conducteur est positif au stupéfiant, il devra immédiatement faire un second test afin de confirmer le type de la substance. Il est important de préciser que le taux de delta-9-tetrahydrocannabidiol ou THC reste moyennement détectable après 6h de temps. La simple détection de notion de taux de cannabis peut suffire à qualifier une infraction.